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Le Groupe Hospitalier Paris Saint-Joseph dresse un bilan très positif de son utilisation de la reconnaissance vocale
22 avril 2019 - 21:13,
Communiqué
- NuanceLa combinaison de la reconnaissance vocale, du dossier patient informatisé, de la messagerie sécurisée et de la numérisation des archives a permis au GHPSJ d’améliorer ses processus organisationnels ainsi que la qualité de la prise en charge des patients. 350 médecins ont ainsi totalement adopté la reconnaissance vocale au curseur.
La reconnaissance vocale a naturellement remplacé le clavier
Pour les médecins, dicter dans le dossier patient est devenu aussi naturel que l’était auparavant l’usage du clavier. La reconnaissance vocale est tellement intégrée à leur quotidien qu’ils oublient qu’ils l’utilisent. La saisie des données cliniques dans le dossier patient informatisé, la production des lettres de liaison et autres courriers, la rédaction de leurs e-mails, etc. se font désormais uniquement avec la reconnaissance vocale au curseur. « La reconnaissance vocale est considérée par les médecins comme un facilitateur et non comme une obligation. Elle ne suscite plus aucune question. Pour eux, elle est aujourd’hui indissociable de leur pratique quotidienne », indique Christophe Nicolaï.
Une charge IT minime pour la DSI
En trois ans, aucun incident technique n’a été causé par Dragon Medical Direct. Son installation est lancée automatiquement sur les postes de travail connectés directement au serveur depuis la DSI. La prise en main de Dragon Medical Direct par les médecins se fait facilement et en quasi totale autonomie. Très simple d’utilisation, la solution ne nécessite qu’une formation élémentaire. Les équipes informatiques interviennent essentiellement pour des problèmes de microphones, soit parce qu’il en manque, soit parce qu’ils sont défectueux. « Du point de vue de l’IT, il s’agit d’un projet facile à gérer et qui pèse peu sur nos ressources », ajoute le DSI.
Des nouveaux utilisateurs parmi les professionnels de santé
Les résultats obtenus par les médecins ont motivé d’autres professionnels de santé du GHPSJ à utiliser la reconnaissance vocale. Plusieurs psychologues se sont mis à dicter leurs comptes rendus, souvent très longs, pour gagner du temps. Dans le service d’anatomo-cytopathologie, les techniciennes dictent tout en gardant les mains libres pour manipuler leurs échantillons. Elles activent le microphone via un pédalier configuré avec des jeux de commandes. Quant aux infirmières des urgences, elles sont challengées sur le temps de triage des patients et, là encore, la reconnaissance vocale leur permet d’être plus efficaces.
« Désormais, mon objectif en tant que DSI est de continuer à répondre aux demandes des praticiens en matière de reconnaissance vocale, à en faire évoluer les usages et à développer des réponses aux demandes croissantes des médecins en matière de mobilité », conclut Christophe Nicolaï.
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