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Samsung : accéder à l’innovation technologique sans grever sa capacité d’investissement
Les établissements hospitaliers peuvent ainsi avec un budget de fonctionnement équivalent, voir inférieur remplacer leurs matériels radiologiques et échographiques obsolètes par des équipements Samsung de nouvelle génération. Cette offre repose sur l’identification des usages et des besoins des établissements pour leur permettre d’apporter une réponse adaptée aux attentes de chaque service.
Samsung, en tant que nouvel entrant, propose ainsi une alternative au modèle classique d’investissement (amortissement, leasing et location). En effet, les établissements publics de santé sont dans une situation financière délicate qui grève leurs capacités d’investissement. La dette à moyen et long terme des EPS a ainsi triplé en dix ans, pour atteindre 29,3 Md€ à la fin 2012, soit 1,4 % du PIB.
L’autre frein à l’investissement est la tarification à l’activité. En effet, la T2A ne couvre que très partiellement les coûts d’investissements alors que la progression plus rapide des charges que des tarifs, dans le cadre de l’ONDAM, fragilise les ressources hospitalières. Les arbitrages réalisés en 2005 lors de la mise en application de la T2A n’ont pas inclus l’ensemble des charges d’investissement dans les tarifs. Les aides à la contractualisation ne compensent pas ces arbitrages car elles sont destinées essentiellement à la mise en œuvre de priorités régionales d’organisation sanitaire ou d’amélioration de la qualité des soins.
La raréfaction des crédits, publics ou bancaires, ne semble donc pas prête d’être enrayée. L’innovation en termes de stratégies d’investissement est donc essentielle pour maintenir la performance des équipements dans les établissements de santé ; d’autant que le besoin est prégnant au regard du parc d'équipement vieillissant. Un dossier présentant de manière exhaustive ce nouveau modèle sera mis à disposition des établissements intéressés par Samsung HME.
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