Publicité en cours de chargement...
HIT 2013 : la médecine de parcours et des systèmes d’information
22 avril 2013 - 02:00,
Actualité
- DSIH
Un comité présidé par Alain Cordier doit proposer en juin des plans d’actions en conséquence.
Sous des appellations diverses, la mutation vers « la médecine de parcours » est l’orientation prise par tous les pays riches aujourd’hui : programme « Meaningful Use » de l’administration Obama, programme « Commissioning for Quality and Innovation (CQUIN) en Grande-Bretagne …
Pour effectuer cette mutation en France, il faudra mettre en œuvre de nouvelles règles de financement et de nouveaux systèmes d’information.
Aux Etats-Unis, les puissantes incitations financières fédérales à la médecine de parcours des programmes Medicare et Medicaid ont conduit certains éditeurs à investir massivement pour couvrir les besoins fonctionnels nécessaires à cette mutation vers une « médecine de parcours » : partages quotidiens de données médicales, sous consentement, entre hôpitaux et cliniques ; prescriptions multimodales électroniques etc.
La table ronde du 29 mai 11h30 au HIT (Stand M42) permettra d’éclairer le sujet des systèmes d’information, comme condition de succès d’une médecine de parcours en France. Les questions auxquelles des réponses doivent être données aujourd’hui sont les suivantes :
- Quel est l’état des lieux des partages d’informations entre professionnels de santé ?
- Quelles sont les incitations actuelles à partager des informations ? A organiser les parcours de soins des patients ?
- Quelles sont les fonctions-clés que devront couvrir les systèmes d’information des professionnels pour rendre possible des collaborations accrues dans la prise en charge des patients ?
- Quelles sont les incitations qui devraient être appliquées pour favoriser cette collaboration ?
- Quelles seraient les 3 mesures les plus efficaces pour provoquer cette mutation de notre système de santé ?
La montée en puissance des SI dépendra des incitations financières qui s’appliqueront aux professionnels (ville et hôpital) pour collaborer davantage dans une véritable « médecine de parcours ».