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Parcours digitaux : au cœur de la stratégie de Tessi pour la Santé
La digitalisation du monde de la santé s'est fortement accélérée depuis deux ans, dans un contexte de crise sanitaire. « Les parcours digitaux limitent les contacts physiques superflus dans les salles d'attente et permettent aux personnels médico-administratif de se concentrer sur des actes à meilleure valeur ajoutée », explique Emmanuel Michaud, directeur de l'offre santé de Tessi. Le secteur de la santé est ainsi devenu un axe stratégique pour Tessi. « Cela fait plus de 10 ans que nous fournissons des logiciels et des prestations de services pour des hôpitaux, des ARS et des caisses régionales, mais ces dernières années nous avons décidé de verticaliser nos offres pour qu'elles correspondent aux cas d'usage de la santé », précise-t-il.
Expert des parcours digitaux et de l'optimisation des processus métiers des organisations publics ou privés, Tessi a choisi de se focaliser dans un premier temps sur trois moments clefs du parcours patient :
- la création de l'espace patient avec une identification forte, grâce à la solution DIGITAL ID by Tessi retenue notamment par le GIE Sesam Vitale dans le cadre du développement de la e-carte Vitale ;
- la pré-admission administrative en ligne, procédure dont les besoins (collecte et vérification automatisée de documents, complétude/conformité des dossiers, etc.) rejoignent ceux d'autres secteurs où Tessi est présent depuis longtemps, comme la banque ou l'assurance ;
- la gestion du consentement, avec la solution JECONSENS by Tessi, lancée en novembre 2021, qui dématérialise la gestion et sécurise les consentements, en s'assurant qu'ils soient bel et bien éclairés.
« Dans la santé, le digital ne se développe que si les usagers ont confiance et ils n'auront confiance que s'ils peuvent exercer leurs droits. Tessi s'attache donc à proposer des solutions qui permettent de créer ce climat de confiance entre les patients, les médecins et les établissements de santé », insiste Emmanauel Michaud. Et ce, sans oublier les 30% de Français qui ont des difficultés à accéder à Internet. « Un processus digital doit toucher nativement 60-70% de la population », assure le professionnel. « Il faut donc y associer un certain nombre de services complémentaires (centres d'appels, etc.) pour ne pas exclure les 30% restants du processus médical : cette attention à l'inclusion est aussi une de nos convictions fortes ».
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