Avec la solution Cerner PowerStay®, le groupe hospitalier associatif Uneos monte en GAM
29 mars 2021 - 14:34,
Actualité
- DSIHLe passage à PowerStay par les deux établissements MCO du GHA Uneos (les hôpitaux Robert-Schuman et Belle-Isle) et des services SSR était devenu une nécessité. Comme l’explique Pierre Bour, responsable des systèmes d’information du groupe privé messin, cette nouvelle GAM va permettre aux structures de soins de se mettre à l’unisson des services socles du programme national Ma santé 2022 et du Ségur de la santé. Ainsi, PowerStay établit un lien avec le dossier médical partagé (DMP) qui pourra être alimenté par le dossier patient informatisé du GHA. « Nous allons également pouvoir intégrer l’identifiant national de santé (INS) », ajoute-t-il. Cette montée en version ouvre également la voie à l’intégration du module de facturation Simphonie.
Les bénéfices d’une préparation en amont
La mise en production lancée en début d’année s’est déroulée sans anicroches notables, grâce à une préparation en amont bien calibrée. « Notre équipe projet en interne, en lien avec les consultants de Cerner, avait élaboré des tutoriels et des fiches dites “réflexes” sur les fonctionnalités rapides », rapporte Anne Charlier, responsable informatique du GHA Uneos. Les cadres de soins ont été formés en amont par Cerner, pour la partie mutation-validation des préadmissions dans les services. L’éditeur a également assuré la formation des référents admission-facturation. « Le premier jour du démarrage, le flux des admissions fut très dense, mais grâce à une assistance ciblée dans chaque bureau le personnel des admissions a pu relever le défi », explique-t-elle.
Les prochaines étapes de déploiement
Les équipes de la DSI du GHA Uneos doivent maintenant parachever l’intégration de la carte Vitale, après la phase de test menée début mars. Cette étape conditionne l’utilisation de l’INS. Autre chantier d’importance pour les prochaines semaines, la mise en œuvre des flux HL7 en lieu et place des anciens flux HPrim. « Nos équipes ont encore un travail à effectuer sur les redirections de flux », confirme Pierre Bour. Ces nouveaux flux sont notamment indispensables pour mettre en œuvre le parcours connecté du patient.