Le CHU de Limoges optimise sa GED avec les imprimantes d’étiquettes Brother
15 oct. 2019 - 12:10,
Communiqué
- BrotherDepuis 2017, le CHU de Limoges s’est lancé dans un plan de modernisation. En complément de la construction du nouveau site de l’hôpital Dupuytren 2, d’importantes transformations digitales ont été engagées dont le remplacement progressif du dossier patient unique par le dossier patient informatisé. Cette évolution a nécessité la refonte de la gestion documentaire dans les secrétariats, avec pour objectif le « zéro papier ».
Des QR Codes à imprimer et étiqueter
L’établissement a opté pour la solution MediGED de Thera Soft. Elle permet aux secrétaires d’éditer et imprimer des QR Codes au format étiquette avec l’imprimante QL-820NWB de Brother, avant apposition sur chaque page des documents. Une fois l’autorisation médicale obtenue, ces derniers peuvent être scannés en masse et intégrés automatiquement au dossier patient.
Compacte, rapide, stable et dotée d’un large écran, l’imprimante QL-820NWB a séduit le CHU de Limoges par sa compatibilité avec le logiciel MediGED, avec un atout de taille : à la différence d’autres matériels déjà testés, ses paramètres ne peuvent pas être modifiés par les utilisateurs. « Aucune maintenance de parc n’est à prévoir », ajoute Alexandre André, DSI du CHU.
Une prise en main facile
Sébastien Dupic, coordinateur de l’équipe support et déploiement au sein de l’établissement, a été convaincu par ce modèle : « Quand on déballe les imprimantes, il n’y a pratiquement rien à faire. Une fois qu’elles sont connectées au réseau, c’est le logiciel qui envoie la configuration à l’imprimante et qui verrouille les données, de sorte que l’utilisateur ne soit pas sollicité. Pour les secrétaires, c’est on ne peut plus simple en termes d’utilisation : elles ont seulement à changer les rouleaux d’étiquettes. » Depuis la phase pilote lancée fin 2017, environ 250 imprimantes ont été installées dans les secrétariats.
Un système performant
À ce jour, 750 000 pages de comptes rendus, de courriers, de prescriptions et de résultats ont été numérisés. Cette nouvelle gestion documentaire fait gagner un temps précieux aux secrétariats et facilite l’accès des médecins aux informations médicales.
« On aurait pu dire au début que le classement n’était pas une priorité, mais il est devenu aujourd’hui aussi important que le téléphone ! Les médecins ne peuvent travailler sans les synthèses informatisées. Avec l’ouverture du nouvel hôpital qui ne dispose pas d’archives, nous sommes obligés de favoriser la dématérialisation. Et comme les dossiers prennent de plus en plus de place, elle devenait cruciale », conclut Marianne Dupays, référente et coordinatrice des secrétariats médicaux. Ce modèle pourrait à terme être appliqué dans les 17 autres établissements du groupement hospitalier de territoire du Limousin.