Publicité en cours de chargement...
Au CHU de Nantes, un projet de reconnaissance vocale inédit en Europe
16 mai 2017 - 10:15,
Actualité
- DSIH, Par Delphine GuilgotLe DSI interviendra justement demain, mercredi 17 mai, à 14 h 15 dans le cadre des agoras de la Paris Healthcare Week, pour partager son approche pragmatique du projet. À ses yeux, le développement du numérique passe d’abord par celui du DPI. L’objectif n° 1 est donc de favoriser son adoption tout en permettant aux médecins de gagner en temps et en précision dans la capture de l’histoire et du dossier du patient. Sans compter qu’il faut aussi pourvoir répondre aux exigences réglementaires obligeant à remettre aux patients leur lettre de liaison au sortir de l’établissement. Ici, la combinaison du DPI Millennium de Cerner et de la reconnaissance vocale Nuance fait ses preuves. « L’association du DPI et de la reconnaissance vocale favorise la transformation numérique des établissements de santé en donnant des outils pertinents aux professionnels de santé », commente Harold Juillet, directeur général de Cerner France.
« La reconnaissance vocale médicale a fait de sérieux progrès ces dernières années et confirme sa valeur d’usage auprès de milliers de médecins », explique Pierre Meyblum, Channel Sales Manager France & Iberia chez Nuance. « Au CHU de Nantes, comme au sein d’autres établissements, notre solution a su convaincre par sa fiabilité, sa rapidité d’appropriation et des résultats mesurables », poursuit-il. Délais de création des comptes rendus ou d’envoi des lettres de liaison : les données clés et statistiques que dévoilera Pierrick Martin devraient être fortes de sens !
« L’an passé déjà, le Groupe hospitalier Paris-Saint-Joseph témoignait par la voix de son DSI, Olivier Boussekey, de la pertinence de la solution Nuance dans le cadre de sa stratégie “zéro papier” pour ses 350 médecins. Cette année, avec un projet d’une telle envergure, nous démontrons non seulement la pertinence et la fiabilité de notre solution, mais également notre capacité à répondre aux enjeux territoriaux des établissements, quelle que soit leur échelle », souligne Pierre Meyblum.