Publicité en cours de chargement...
Pharma un outil adapté pour le circuit du médicament
30 oct. 2011 - 02:00,
Actualité
- DSIHDans le cadre du Contrat de Bon Usage du médicament, les centres hospitaliers cherchent des solutions pour sécuriser le circuit du mé- dicament, de la prescription à l’administration. DSIH a choisi de décrypter la solution Pharma de la société Computer Engineering, à travers l’expérience du Docteur Anne Linder, pharmacien au Centre Hospitalier de Saint-Nazaire et chef de projet Pharma. Elle a piloté l’informatisation du circuit du médicament sur l’ensemble du Centre Hospitalier.
« Depuis plus de 20 ans, le Centre Hospitalier de Saint- Nazaire réalisait la DJIN (Dispensation journalière individuelle nominative) à partir des prescriptions papier. Afin de répondre aux exigences du CBU (Contrat de Bon Usage) et d’améliorer la sécurité du circuit du médicament, nous avons fait le choix du logiciel Pharma, qui nous semblait le plus adapté et le plus performant. Nous avons transposé informatiquement ce qui existait sur papier. Ceci nous a apporté un lien entre chaque étape du circuit, avec récupération et traçabilité de toutes les informations en temps réel.
Suite à un appel d’offre en 2005, nous avons commencé le déploiement de Pharma en novembre 2006, pour terminer l’informatisation du circuit fin 2009. Ceci nous a permis de sécuriser, dans leur globalité, la prescription, la validation, la dispensation et l’administration du médicament.
Pourquoi Pharma ?
Nous avons mis en avant la pertinence du produit et avons été extrêmement vigilants quant à la sécurité du patient.
Fonctionnellement, en utilisant le même logiciel dans le circuit du médicament, de la prescription à l’administration, nous évitons les problèmes d’interface. De la même façon, pour la récupération des médicaments T2A, les médecins prescrivent en mentionnant leur indication T2A dans Pharma, sans ressaisie. La solution Pharma n’est pas seulement appréciée du côté des pharmaciens. Les médecins prescripteurs, urgentistes, anesthésistes et les infirmières se sont très rapidement habitués à son environnement clair, précis et évolutif. La disponibilité des pharmaciens rassure les utilisateurs à travers une hot-line interne, que nous avons mise en place.
Prochainement, le projet d’établissement va nous mener vers un regroupement avec deux cliniques mutualistes pour former un GCS. Celles-ci utilisent déjà Pharma. Et, dans ce contexte, se pose la question du DPI. La gestion, ainsi que la dispensation et la validation pharmaceutique, seront toujours faites dans le logiciel Pharma. Il est bien évident que, si la prescription et l’administration sont faites dans un autre logiciel, il y aura un risque de perte d’informations. Nous ne sommes pas sans savoir toute la complexité des interfaces entre les différents logiciels. Dans notre service, nous espérons conserver un appel contextuel vers Pharma depuis le futur DPI. Actuellement, les logiciels dossiers patients ne sont pas aussi performants que les logiciels métiers. Nous ne pouvons, en aucun cas, revenir en arrière en ce qui concerne la sécurisation du circuit du médicament. De plus, Pharma est le seul à couvrir la phase dispensation nominative.
Les échanges avec Computer engineering ont été très fructueux pour faire évoluer l’outil à la demande des prescripteurs, notamment sur les équivalences thérapeutiques, les fréquences, les protocoles et les avis pharmaceutiques... »
Suite à un appel d’offre en 2005, nous avons commencé le déploiement de Pharma en novembre 2006, pour terminer l’informatisation du circuit fin 2009. Ceci nous a permis de sécuriser, dans leur globalité, la prescription, la validation, la dispensation et l’administration du médicament.
Pourquoi Pharma ?
Nous avons mis en avant la pertinence du produit et avons été extrêmement vigilants quant à la sécurité du patient.
Fonctionnellement, en utilisant le même logiciel dans le circuit du médicament, de la prescription à l’administration, nous évitons les problèmes d’interface. De la même façon, pour la récupération des médicaments T2A, les médecins prescrivent en mentionnant leur indication T2A dans Pharma, sans ressaisie. La solution Pharma n’est pas seulement appréciée du côté des pharmaciens. Les médecins prescripteurs, urgentistes, anesthésistes et les infirmières se sont très rapidement habitués à son environnement clair, précis et évolutif. La disponibilité des pharmaciens rassure les utilisateurs à travers une hot-line interne, que nous avons mise en place.
Prochainement, le projet d’établissement va nous mener vers un regroupement avec deux cliniques mutualistes pour former un GCS. Celles-ci utilisent déjà Pharma. Et, dans ce contexte, se pose la question du DPI. La gestion, ainsi que la dispensation et la validation pharmaceutique, seront toujours faites dans le logiciel Pharma. Il est bien évident que, si la prescription et l’administration sont faites dans un autre logiciel, il y aura un risque de perte d’informations. Nous ne sommes pas sans savoir toute la complexité des interfaces entre les différents logiciels. Dans notre service, nous espérons conserver un appel contextuel vers Pharma depuis le futur DPI. Actuellement, les logiciels dossiers patients ne sont pas aussi performants que les logiciels métiers. Nous ne pouvons, en aucun cas, revenir en arrière en ce qui concerne la sécurisation du circuit du médicament. De plus, Pharma est le seul à couvrir la phase dispensation nominative.
Les échanges avec Computer engineering ont été très fructueux pour faire évoluer l’outil à la demande des prescripteurs, notamment sur les équivalences thérapeutiques, les fréquences, les protocoles et les avis pharmaceutiques... »