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Ségur du numérique : après le succès de la vague 1, la vague 2 sera lancée en fin d’année
Cette conférence de presse a été organisée au lendemain de la date butoir pour la mise en place des mises à jour des logiciels « Ségur vague 1 » par les éditeurs agréés par l’ANS. Globalement, plus de 99% des mises à jour prévues ont effectivement été installées, se sont félicité les autorités. Elles ont précisé que des opérations vont se poursuivre jusqu’à la fin de l’année pour s’assurer de la levée des éventuelles réserves émises par les établissements et professionnels de santé et mener les opérations de contrôle et de paiement des prestations de mise à jour.
Sur chaque couloir du secteur sanitaire, « une masse critique d’établissements et professionnels de santé disposent aujourd’hui de logiciels conformes » capables de répondre aux enjeux d’identitovigilance via la qualification de l’Identité Nationale de Santé et d’alimenter Mon espace santé. Près de 2.000 établissements, représentant plus de 80% de l’activité hospitalière, sont désormais équipés « vague 1 ». C’est aussi le cas de plus de 51.000 médecins en cabinet libéral, de 1.500 centres et maisons de santé, de 850 structures de radiologie et de plus de 70% des laboratoires de biologie médicale.
La vague 2 sera lancée en fin d’année, pour un déploiement à horizon 2024-2025. Elle « complètera le socle posé par la vague 1 pour atteindre l’ambition du Ségur numérique », à savoir « faciliter la consultation de l'information disponible dans Mon espace santé par les professionnels » ; « faciliter l'intégration des documents médicaux reçus par MSSanté » ; « renforcer la sécurité des systèmes d'information » ; « améliorer les usages clés vague 1 (gestion INS, alimentation systématique du DMP) ».
Des rendez-vous avec l’écosystème industriel sont prévus en octobre pour finaliser la vague 2, avant la publication des premiers textes réglementaires en fin d’année.
Des textes seront aussi publiés au premier trimestre 2024 pour étendre le Ségur aux logiciels des officines de ville, des sage-femmes, des chirurgiens-dentistes et des professionnels paramédicaux.
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