Publicité en cours de chargement...

Publicité en cours de chargement...

Publicité en cours de chargement...

Le CH d’Avignon met en place une solution mobile et automatisée de prélèvements biologiques avec les imprimantes «Zebra QLn 220».

19 nov. 2012 - 01:00,
Actualité - DSIH
Retour d’expérience du Centre Hospitalier d’Avignon, 1er hôpital en France à mettre en place une solution mobile et automatisée de prélèvements biologiques avec les imprimantes «Zebra® QLn 220».

LE CONTEXTE :
Selon les directives de la nouvelle normalisation des Laboratoires de biologie médicale (NF EN ISO 15189), les hôpitaux et laboratoires de biologie auront l’obligation d’ici 2016 de mettre en place l’informatisation de la prescription pour supprimer la retranscription des ordonnances. L’objectif à terme est de réduire les risques d’erreur, de garantir la confidentialité et  d’accroitre la sécurité des informations liées aux actes de prélèvement.

LE DEFI :

Hélène SOLLe CH Avignon, 3 000 employés pour 911 lits, a étudié et mis en place une solution de prescription laboratoire qui répond non seulement à l’enjeu d’automatisation requise par la législation mais aussi à la volonté de mobilité qui a été reconnue comme chantier prioritaire par la Commission Informatique de l’hôpital d’Avignon. La performance du projet a d’ailleurs été évaluée par l'Agence Nationale d'Appui à la Performance (ANAP).

 « Nous avons recherché un partenaire qui puisse travailler à nos côtés tout au long de l’élaboration et de la mise en place de la solution d’automatisation mobile des prélèvements de biologie dans les différents services de l’hôpital », explique Hélène Sol,  Directrice des Systèmes d’Informations du CH Avignon. « Nous avons trouvé une solution complète qui nous a permis, avec notamment les imprimantes mobile code à barres Zebra, de répondre à l’ensemble de nos enjeux ». 

 

LA SOLUTION :

Les chariots infirmiers mobiles, sur lesquels sont installés un ordinateur portable Wi-Fi de 17 pouces connecté au logiciel de prescription de laboratoire « Cyberlab », comportent un tiroir coulissant pour l’ordinateur et un support pour l’imprimante mobile code à barres Zebra ; un grand tiroir contient les différents modèles de tubes de prélèvements. L’imprimante mobile Zebra QLn 220 a été choisie pour sa taille compacte (elle tient dans la main) et son autonomie d’impression de plusieurs journées de travail. Sa simplicité d’utilisation et son faible encombrement permettent de l’emmener sur le chariot et répond parfaitement aux usages du personnel soignant. La solution informatique mobile a été déployée dans les services dès janvier 2010.  Actuellement, les 2/3 des services en sont pourvus, soit 148 micro-ordinateurs portables et imprimantes mobiles Zebra. 

LES POINTS FORTS :

Une sécurité des informations 

Le Logiciel étant connecté au Système de Gestion des Laboratoires (SGL), il numérote le prélèvement dès la validation par l’infirmière, et l’imprime en code barre sur les étiquettes. Avec l’automatisation complète de la chaîne, ce risque d’erreur est maintenant fortement réduit, voire quasi nul.

Une optimisation des actes de prélèvements sur l’ensemble du circuit

Un véritable gain de temps est rendu possible avec l’étiquetage  au moment du prélèvement, et par conséquent nul besoin de ré-étiquetage au laboratoire. L’étiquette code à barres garantit la traçabilité des informations, du prélèvement au rendu du résultat.

Efficacité et confort

Pour le patient : les actes de prélèvements sont  plus courts, les redondances sont supprimées, et les résultats des analyses arrivent plus rapidement. Pour le personnel soignant : les pratiques sont uniformisées dans tous les services et permettent un meilleur partage des informations.  Cette fluidité des actes simplifie considérablement les opérations et permet un gain de temps, ainsi qu’une réduction du stress. Pour les médecins : la visualisation des résultats en quasi temps-réel sur leurs ordinateurs facilite leur suivi des patients.

Une économie financière pour l’hôpital

La réduction du nombre d’erreurs et des actes redondants et par conséquent du nombre d’examens permet une véritable économie de coûts au niveau des actes de laboratoire. Cette réduction est aujourd'hui comprise entre 12 et 16 % en nombre de B[1] au CH d’Avignon depuis la mise en place la cette solution.

Leader sur les solutions d’impression à la demande dans le domaine de la santé, l’équipe Zebra renforce ainsi son expertise en matière d’innovation sur ce secteur et continue à accompagner les centres hospitaliers (qui demandent d’ailleurs un éclairage et retour d’expérience de la part du CH Avignon) dans leurs recherches de solutions pour répondre aux exigences de la législation.

 

[1] tous les actes de biologie inscrits à la nomenclature des actes de biologie médicale et recensés sous forme de  fichier automatisé sont cotés en B

Avez-vous apprécié ce contenu ?

A lire également.

Illustration Les cyber-tuiles ont toutes été posées par cyber-temps sec

Les cyber-tuiles ont toutes été posées par cyber-temps sec

27 oct. 2025 - 22:19,

Tribune

-
Cédric Cartau

Chaque semaine, je me demande bien ce que je vais pouvoir raconter dans le billet de la semaine suivante… et il me suffit de jeter un œil sur l’actualité pour tomber sur des sujets en veux-tu en voilà qu’il est d’autant plus facile de relier à la cyber que les analogies sautent aux yeux comme une am...

Illustration Lancement d’un appel à manifestation d’intérêt sur les DMN

Lancement d’un appel à manifestation d’intérêt sur les DMN

27 oct. 2025 - 22:17,

Actualité

- Damien Dubois, DSIH

Station [e]-Santé a lancé son appel à manifestation d’intérêt sur les dispositifs médicaux numériques dans le cadre du plan Innovation Santé 2030. Il est ouvert jusqu’au 1er décembre.

RGPD et cyber : l’ouverture de la chasse à la bécasse et à la galinette cendrée[1]

20 oct. 2025 - 13:47,

Tribune

-
Cédric Cartau

En l’espace d’une semaine, je tombe sur deux « news » de la planète RGPD/RSSI, à propos desquelles on se demande comment les organisations impliquées ont bien pu « en arriver là » – sans conséquences gravissimes, heureusement.

Illustration La plateforme de télémédecine Rofim lève 10 millions d’euros pour poursuivre sa croissance et internationaliser son activité

La plateforme de télémédecine Rofim lève 10 millions d’euros pour poursuivre sa croissance et internationaliser son activité

15 sept. 2025 - 22:03,

Actualité

- Propos recueillis par Mehdi Lebranchu et Pauline Nicolas

Pensée par et pour des médecins en 2018, Rofim est une plateforme de télémédecine qui regroupe désormais six modules afin de permettre aux patients de recevoir le juste soin, au bon endroit, au bon moment et par le bon professionnel de santé. En cette rentrée 2025, Rofim annonce une levée de fonds d...

Lettre d'information.

Ne manquez rien de la e-santé et des systèmes d’informations hospitaliers !

Inscrivez-vous à notre lettre d’information hebdomadaire.