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Dans certaines conditions, un attaquant peut passer par l’Active Sync (ouvert à peu près partout) pour réaliser une élévation de privilèges sur le serveur de messagerie interne de l’établissement, voire devenir admin de l’AD.
Microsoft n’a pas encore publié de patch à l’heure d’écriture de ces lignes, mais fournit un mode opératoire permettant de se protéger à minima contre l’attaque. Le hic c’est que l’on est sur des manipulations qui, en toute logique, doivent passer par des tests : modifications de paramètres internes, de la base de registre, etc. Sinon on peut aussi couper l’ActiveSync pour quelques jours, mais là c’est un problème utilisateur.
Dans l’intervalle, si le service EWS n’est pas activé le risque semble moindre, mais la vigilance est de mise.
[1] https://www.zdnet.com/article/microsoft-exchange-vulnerable-to-privexchange-zero-day/
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