Publicité en cours de chargement...
La collaboration avec RESIP aboutit à une nouvelle certification
La certification des Logiciels d’Aide à la Prescription Hospitalier (LAP-H), confiée par la loi à la Haute Autorité de Santé (HAS), et qui devra être généralisée au 1er janvier 2015, a pour objectif d'assurer une bonne sécurisation de la prescription hospitalière.
Qualité de prescription, ergonomie et efficience
Les objectifs attendus de cette certification sont l’amélioration de la qualité de la prescription, la facilitation du travail des équipes médicales et la diminution du coût du traitement tout en maintenant le niveau de qualité. Ces critères portent sur les modalités et possibilités de prescriptions, la sécurité de la saisie, l’accès aux produits compris dans le livret thérapeutique et hors livret. Sont également pris en compte les prescriptions en Dénominations Communes (DC) et les contrôles des prescriptions en liaison avec une base de données sur le médicament.
Pharma 5.4, une évolution taillée pour la certification LAP-H
La prise en compte des critères de certification a nécessité un certain nombre d’évolutions de l’application Pharma, tant pour la partie prescription hospitalière que pour la partie rédactionnelle des ordonnances de sortie. Ces évolutions sont intégrées dans la version 5.4 de Pharma. Le processus de certification, portant en partie sur l’analyse de la prescription, nécessite l’utilisation d’une Base de Données sur le Médicament (BDM) agréée par la Haute Autorité de Santé. Pour les éditeurs qui, comme Computer Engineering, travaillent avec plusieurs bases de données, la certification doit être passée avec chacune des bases de données utilisées.
La collaboration avec RESIP devrait bientôt être certifiée
Après une première certification obtenue en juin 2014, les équipes de Computer Engineering travaillent avec les autres éditeurs afin d’obtenir la certification avec les 4 bases agrées. Le processus est engagé avec un second partenaire, RESIP, qui édite la BDM Claude Bernard. Les travaux de collaboration menés depuis plusieurs mois entre les équipes des deux éditeurs ont donc abouti à une certification LAP-H en bonne et due forme par la HAS. L'annonce en été faite aujourd'hui, 26 septembre 2014.
Les évolutions liées à la certification complètent les évolutions régulières de l’application Pharma et concourent à l’amélioration continue de la sécurisation et de l’optimisation de la prise en charge thérapeutique des patients.
Avez-vous apprécié ce contenu ?
A lire également.

PLFSS 2026 : le DMP devient obligatoire sous peine d’amendes
03 nov. 2025 - 17:19,
Actualité
- DSIH,Le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, actuellement examiné à l’Assemblée nationale, franchit une étape décisive dans la numérisation du système de santé français. Les articles 30 et 31 du texte, publiés dans le dossier législatif n° 1907 (Assemblée nationale 1), i...

Maincare, une stratégie multi-entité pour faciliter la convergence des SI administratifs dans les GHT
03 nov. 2025 - 16:40,
Actualité
- DSIHDe nombreux groupements hospitaliers de territoire (GHT) peinent encore à concrétiser l’ambition initiale d’un système d’information unifié. Une fragmentation qui empêche de tirer pleinement parti de la logique de mutualisation voulue par les pouvoirs publics. Maincare apporte une réponse à ce défi ...

Transition écologique en santé : l’Anap lance le premier centre national de ressources - une plateforme numérique inédite, accessible gratuitement et librement.
03 nov. 2025 - 10:20,
Communiqué
- ANAPLes professionnels des établissements ont besoin d’un accès simplifié et centralisé aux nombreuses ressources nécessaires à la transition écologique. Conformément à la recommandation formulée par l’IGAS en 2024 (1), l’Anap lance le centre national de ressources pour la transition écologique des étab...
RGPD et cyber : l’ouverture de la chasse à la bécasse et à la galinette cendrée[1]
20 oct. 2025 - 13:47,
Tribune
-En l’espace d’une semaine, je tombe sur deux « news » de la planète RGPD/RSSI, à propos desquelles on se demande comment les organisations impliquées ont bien pu « en arriver là » – sans conséquences gravissimes, heureusement.
