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Galeon, un traitement de la donnée médicale plus efficace pour l’hôpital

DSIH, MARDI 14 MAI 2024

L’hôpital croule sous la donnée. Qu’il s’agisse d’informations récoltées en consultations ponctuelles ou lors d’hospitalisations prolongées, les soignants passent souvent plus de temps à traiter ces données qu’à réellement prodiguer du soin. Mais il y a données et données, et il existe différentes manières de les collecter, processer et réutiliser. Certaines beaucoup plus efficaces que d’autres. 

5 courriers par patients par jour, en moyenne 

Un chiffre impressionnant (tiré d’un des hôpitaux travaillant avec Galeon) s’il est ramené au nombre de patients qui défilent au sein d’un même hôpital sur une année. Pour ce même groupe hospitalier, nous comptabilisons donc plus de 57 000 consultations sur les 3,5 dernières années. Sur un an donc, plus de 80 000 documents sont envoyés aux patients de cet hôpital en moyenne. C’est 285 000 sur plus de 3 ans. Ces chiffres vertigineux le sont encore plus lorsque l’on sait qu’une grosse majorité d’hôpitaux travaillent encore sous dossier papier... 

Il y a différents types de courriers ou documents. En France, par exemple, l’envoi d’une synthèse médicale de séjour est systématique pour une hospitalisation de plus de 24h. Les comptes-rendus de consultation sont aussi envoyés au médecin traitant du patient, au DMP (Dossier Médical Partagé), et/ou à d’autres spécialistes, en fonction de l’objet de la visite. 

Les prescriptions, quant à elle, ont un usage externe et sont normées par la Haute Autorité de Santé, ce qui leur procurent une haute valeur médico-légale. Le document de déclaration de naissance, par exemple, est très important car il sert à déclarer la citoyenneté d’un individu et de réclamer ses papiers d’identité. 

Si le nombre de documents délivrés par patient est important, côté soignants, les procédures sont fastidieuses avec l’utilisation fréquente de plusieurs logiciels dans un même service. Certains doivent procéder jusqu’à 7 signatures au total pour la prescription de médicaments pour un seul et même patient. Et si l’on multiplie par le nombre de personnes qu’ils voient à la journée, ils n’ont tout simplement pas… le temps. 

Le stockage du dossier patient papier, un vrai problème 

Sur les chiffres cités ci-dessus, nous ne comptons pas le coût de stockage et de transport de ces documents quand le lieu d’archivage est loin de l’hôpital. Les dossiers patient atteignent parfois une cinquantaine de pages, conservés dans l’hôpital ou bien à des kilomètres de ce dernier. Si un soignant a de la chance, il réussira à obtenir le dossier du patient en 4 jours au sein de l’hôpital. Mais s’il faut aller le chercher au centre d’archives… cela peut prendre plus d’une semaine, frais élevés de coursier et empreinte écologique inclus. 

Le management du papier est souvent un défi pour les centres hospitaliers. C’est une consommation excessive évidemment, mais cela pose aussi des problèmes de confidentialité de la donnée médicale. Ces dossiers peuvent être volés, perdus ou même détruits involontairement dans certains cas (ex : inondation du centre d’archives). 

Hyper-structurer les données médicales révolutionne vraiment le quotidien de l’hôpital 

Difficile aujourd’hui d’imaginer réduire le nombre de courriers attribués à chaque patient, ni de réduire le nombre de patients tout court (c’est un autre débat/combat).
En revanche, imaginez le temps gagné sur la journée d’un professionnel de santé et les frais de gestion en moins pour l’hôpital, si les données de ces documents peuvent être autogénérées directement sur la base de ce qui est rentré dans le dossier patient ?
Un DPI store la donnée mais peut tout autant le faire intelligemment en l’hyper-structurant, en utilisant l’intelligence artificielle. C’est ce que fait Galeon, sans que cela soit compliqué. Les soignants rentrent les informations du patient et suivent des protocoles déjà préremplis eu sein du logiciel. Cela évite au maximum la double-saisie, les erreurs ou les oublis et fait gagner un temps précieux.

Mais ce n’est pas tout. Grâce au module de paramétrage Galeon boosté à l’IA, ces informations (comme le nom, prénom du patient…etc) remontent automatiquement dans les courriers ou les prescriptions grâce à un système d’étiquettes. Le flux de données est optimisé à travers la structuration de cette donnée.
Ces différents documents sont autogénérés et peuvent être personnalisés selon les besoins de chaque hôpital. Ils sont aussi envoyés au DMP. Pour des résultats biologiques par exemple, les soignants gagnent 2 minutes en moyenne par patient. Soit un total de 80 jours sur 3 ans (pour l’hôpital du début de l’article). Ce module de paramétrage ne nécessite pas de formation lourde ou particulière car il n’est pas complexe à utiliser. 

Un vrai plus pour tout le monde. 


Galeon sera présent à Santexpo, au stand i59 et sera ravie d’accueillir les dirigeants et DSI d’hôpitaux pour leur présenter son Dossier Patient Informatisé.

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